dimanche 4 septembre 2016

LLD de INVADERDZ (hyperlyrics)

SABEER

Laissez les dire, Zdred, faut nous laisser cuire si les projo brulent. Les PC s'oxydent de Liège à Koksijde, la cité s'autotrulse, laissez nous vivre ??????? les laisser tous ivres, on va décéder à la douzième (2012). Les CD pressés pour laisser plus que de la poussière. Toujours quand je dèche, je retrouve des bouts sous le coussin. Je vois un trou, je le bouche, c'est tout simple. RDZ (l'équipe), c'est le Wu. Si c'est pas pour toi, fais le pour nous : Trinque à la santé des INV ! Flashe et médite... Faut le croire si c'est Mike qui le dit (A SUIVRE...)

S.KAA
Qu'ils ne m'aiment pas ou me testent
Ce sont les mêmes phases que l'on fait taire
Je suis le sempai, ce ne sont que des merdes
Et toutes ces chiennes partent quand moi je reste
Laissez les dire, cessez les pitreries
Baissez les vitres teintées
Mes titres en indé, ce seront des petites tueries
Qu'ils parlent ou ne parlent pas, leurs remarquent restent impalpables
Dans mon cartable que des fat vibes
Bad boy à chaque rap je mets les œillères et les boules Quies
Ecoute Couz ce sont des bouts de quiétude que tu m'enlèves à force de jacter
Mais qui es-tu ?
Je suis trop-ci, pas assez-ça 
Oui j'ai grossi, que je m'arrête c'est impossible
Pas assez le savent : c'est un bon signe
Ils m'ont lassés et menacés
M'ont classés mais je reste dans la place et placide
Car cette plage sera un classique.

REFRAIN
Laissez les dire, laissez nous vivre. Cessez les tirs, qu'ils nous oublient avec leur compet, leurs bêtes couplets. Tu ne testent pas les bons mecs ! Une comète et allez (Halley) ! Lyrics extraterrestre. Beats sur laser disc, compo' sur azerty pour public averti... INVADEEEERDZ


HOFUSK
Ils se cachent derrière des profils de fake, se clashent sur daily(motion), défèquent, puis se passent de jolies défaites. Ils ont l'âge d'insulter le préfet. Je préfère mes reverbs et faire de mes verbes tes préceptes. Mais qui le cause, c'est qui le pauvre ? La richesse du discours... Qui évalue qui ? On lâche pas la grappe comme Zemmour. Voilà de la prose des canaux, ou d'intranautes dans le panneau. L'attente fait ourm, nos crânes chauves, mais toujours le bras long. Un caillou dans le talon , des coups de pompes a rallonge, ou j'coupe l'onde et ma belle entend mes kick-bass du salon ! Espèce de salaud, j'ai acquis l'âge du sage, perdu de trace le ptit gras qui tâche. Sors du cercle ya des vnis qui se lâchent !


BEHYBE
Au fil du temps, j'ai compris que dans leurs forums, il n'y a que des poironnes m'insultant car Musulman. J'ai tout lu, ils auraient voulu que j'aie fichu le camps. Tant pis, je suis sur le banc des accusés, pourtant de détresse sont mes fusées. Tous ces boulots qu'on m'a refusé m'ont usé. Pour que je déstresse, j'ai dû usé de subterfuges pour les gruger, ai trouvé refuge dans la miouz pour m'amuser. Epuisé des news tournées pour nous abuser. On compte tes views pour te jauger, te juger. Déjà que j'ai du mal à m'adapter. Ma dame, elle, a capté l'être derrière l'homme de lettre. (On) vient à peine de naître qu'on te fout une bonne paire de claques au cul, le poids des regards sur mes clavicules. Pitié, mon intimité devient un cloaque occulte. PEU IMPORTE A QUOI JE M'OCCUPE, bande de faux culs !

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